Vendredi 22 Août 2014 : 20h30

Greg Houben (tp, voc) Quentin Liégeois (gt) Sam Gerstmans (cb) Hans van Oosterhout (dms)

Il y a une dizaine d’années, une nouvelle génération s’installait à l’avant-scène du jazz belge. Nourris de jazz – et notamment du jazz des années ‘50/’60, celui de la génération Pelzer -, ils ont rendu force et vitalité à cette musique intemporelle, qu’ils pratiquent comme s’ils l’avaient eux-mêmes engendrée. Aux côtés de Greg Houben, on entendra Quentin Liégeois, le plus fascinant des guitaristes belges contemporains à s’exprimer dans cet idiome ; Sam Gerstmans, bassiste tous terrains incarnant lui aussi cet enracinement puissant dans la tradition ; et le souriant, swinguant et subtilissime Hans van Oosterhout qui, à la batterie, fit les beaux jours des grandes années du festival de Gouvy au sein des « trois Van ».

Vendredi 18 Août 2017 : 20h30

Quentin Liégeois (gt), Cédric Raymond (cb), Greg Houben (tp)

Trompettiste et chanteur, Greg Houben a découvert très jeune la musique de Chet Baker (partenaire occasionnel de son père Steve Houben et partenaire régulier de Jacques Pelzer). Dans une des formules instrumentales qu’affectionnait tout particulièrement Chet (tp, gt, cb, sans batterie), Greg rendra à nouveau hommage à ce grand lyrique déjà au centre du projet Four for Chet il y a quelques années. Il nous annonce également au répertoire de ce concert des reprises à la sauce Chet de grandes chansons populaires.

Vendredi 18 Août 2017 : 22h15

Bert Joris (tp), Nicolas Andrioli (pn), Jos Machtel (cb)

Après Greg Houben, un autre grand trompettiste de la scène belge (le plus grand peut-être), originaire du Nord du pays. Bert Joris, dealer inspiré de compositions et d’arrangements pour le Brussels jazz Orchestra fut et est également au coeur de nombreux combos européens de haut vol, avec Philip Catherine, Enrico Pieranunzi ou Dado Moroni. Lyrisme, invention, swing, une autre manière d’évoquer l’univers de Chet Baker.

Vendredi 17/08/2018 : 22h15

Pascal Mohy (pn) Sam Gerstmans (cb) Dre Pallemaerts (dms)

 Il y a une quinzaine d’années, apparaissait sur la scène belge une nouvelle génération, très différente des précédentes en ce que ces jeunes musiciens étaient d’authentiques boulimiques en matière d’histoire du jazz. Les disques des années ‘50/’60 n’avaient pas de secret pour eux. Pascal Mohy, Quentin Liégeois, Sam Gerstmans, Greg Houben semblaient vivre entre deux époques : la leur et celle de leur musique de cœur. Revisitant avec fougue et imagination les standards comme  les compositions de Monk ou de Parker, Pascal Mohy allait bientôt devenir LE sideman indispensable à tout qui voulait  jouer une musique à l’élasticité imparable. Découvert dès les premières années au Broukay, on ne l’y avait plus entendu comme leader de son propre trio depuis de longues années. Il clôturera cette soirée spéciale Piano pour le plus grand bonheur des amateurs de jazz pur et dur.